DES ANIMAUX ET DES PHARAONS - VII. - DES CHIENS FAMILIERS - 3. DU SACRIFICE CULTUEL DES CANIDÉS

     Toujours en étroite relation avec la superbe exposition que propose jusqu'en mars prochain le Musée du Louvre-Lens, nous voici arrivés, vous et moi, amis visiteurs, à la réédition de l'ultime intervention que, sur mon blog, j'avais consacrée le 8 février 2011 aux chiens familiers égyptiens.

     Pour la découvrir - ou la redécouvrir -,  il vous suffira de cliquer sur le lien ci-après, qui en constituait le titre : Du sacrifice cultuel des canidés.

(Salle 19, vitrine 8 - © Déquier)

     Excellente lecture à toutes et à tous.

Comments

[SiM]

Merci Richard pour ces exposés toujours aussi passionnants, et que je lis ce soir, m'arrachant à la terrible actualité.
C'est une excellente introduction à la fameuse exposition de Lens. Nous y allons la semaine prochaine avec l'ASR et y serons accueillis par Madame H.Guichard.
Outre son grand intérêt, cette visite sera un baume sur notre tristesse.

[Richard LEJEUNE]

     Que je te comprends, Simone ...


 


     Je vous souhaite à tous les deux une excellente visite de cette exposition lensoise. D'autant plus qu'elle sera guidée par sa conceptrice
...


     Un régal, assurément !

[J-P.Silvestre]

Les commentaires de février 2011 sont, curieusement, d'actualité. hélas !

[Richard LEJEUNE]

     Que vous avez raison, Jean-Pierre, d'attirer l'attention sur les commentaires déposés à cette époque par mes lecteurs.


 


     Personnellement, je me suis contenté de relire l'article, et les ai délaissés ...

[François]

Merci, Richard, pour ces retours sur les multiples pépites que constituent les articles de ton blog et qui montrent le chemin déjà parcouru sous ta houlette depuis sa création !

Amicalement !
François

[Richard LEJEUNE]

     Merci François. J'apprécie évidemment ton "multiples pépites", mais il faut rester modeste, à ma juste place d'amateur d'égyptologie.





     Aussi dirais-je plus volontiers : multiples jalons du parcours d'un Passeur de Mémoire, d'un Ouvreur de Chemins ..., l'immodestie que je
m'autorise résidant ici dans les majuscules accordées à ces termes.


 


    Hier après-midi, j'ai relu avec toujours autant de plaisir ce chapitre IX du troisième tome des Essais, de Montaigne, intitulé "De la
Vanité" et ai pris pour moi, immodestement à nouveau, cette phrase, (p. 211 de mon édition Gallimard de 1965) :


 


     "Qui ne voit que j'ai pris une route par laquelle, sans cesse et sans travail, j'irai autant qu'il y aura d'encre et de papier au monde
?"